Tarte aux fraises
Vous avez de la pâte, vous avez des fraises...
J’étais pourtant sûre de vous l’avoir déjà présentée celle-ci ! J’ai bien cherché dans ma catégorie desserts et point de tarte aux fraises ! En tout cas, à un moment j’y ai pensé, tellement fort que j’ai cru que je travaillais dessus, et puis rien…….La morale de cette histoire : la pensée, si intense soit-elle, ne suffit pas à concrétiser les choses. (Pour vérifier j’ai pensé très fort à Georges Clooney, parce que j’avais très envie…………….d’un café, et pour finir, j’ai dû me le faire moi-même, j’avais pas le temps de l’attendre !).
Pour cette tarte aux fraises rectangulaire, j’utilise toujours ma pâte sucrée préférée celle de Jamie, sur laquelle je mets une couche de crème pâtissière à la vanille. Pas n’importe quelle vanille aujourd’hui, il s’agit de celle des Marquises, que m’a rapportée Hélène de son dernier voyage là-bas. Les gousses sont impressionnantes, on dirait des lamelles de cuir, rien à voir avec les haricots secs qu’on nous vend à prix d’or !
de très belles photos, d’une tarte classique renouvelée
J’aime beaucoup le résultat de ta bazar attitude!
Comme j’ai de la belle vanille de Tahiti mais pas des marquises, mais elle est du même acabit , et que les fraises sont mes chouchous et qu’en plus j’ai exactement le même moule…y a plus qu’à ! Je ne connaissais pas la pâte de jamie en plus!
je ne doute pas de la qualité de la recette de cette jolie tarte aux fraises,mais pour moi ça pose un probléme ,je n’ai pas la vanille d’Héléne!!!!!!!!!!!elle a oublié de m’en donner,donc j’attends cette vaniille!!!!!!!!
Alors là, les fraises c’est mon péché mignon, je peux en manger des quantités industrielles et, en tarte, avec une crème pâtissière qui dégouline un peu quand on croque dedans, c’est le top du top, j’adooooooooore!!! je note la recette de la pâte de Jamie.
Je crois qu’il n’y a rien de meilleur qu’une simple tarte aux fraises…
J’ai cru que tu allais nous donner la recette de la crepe au sucre ;OP
Tres jolie tarte !
Les couleurs sont très festives, j’en prends une part