Taboulé au quinoa

Bien loin de moi l’idée de virer ma cuti pour l’allégé*, mais il faut bien reconnaître que ce taboulé est très bon au demeurant. Il mérite sa place, bien que présenter une recette de taboulé soit un crime de lèse-majesté, ce plat de lendemain de mariage difficile (et c’est pas mon père et mon beau-père qui diront le contraire !), si atrocement détourné parfois, ne m’a jamais tellement attiré. Au risque de me voir déshériter, voici donc une recette très fraîche. Le quinoa a un sérieux avantage sur la semoule, il n’est pas sec. Evidemment, il faut, comme dans les recettes originales de taboulé libanais être très généreux sur les herbes.

* Le meilleur régime que je connaisse, et qui attention mesdames et mesdames fonctionne du feu de dieu. Et parce que rien ne sert de se démener……………………….c’est

la  clop,  (c’est sûr, il faut de la volonté, parce que 1 ou 2, c’est pas suffisant, il faut bien se griller le paquet pour un résultat honorable !).

Et oui, je sais je vais en décevoir beaucoup, mais y’a pas que moi qui le dit, y a Marjo aussi.

Comprenez, si je veux m’intégrer dans mon nouvel environnement, je me dois de  pouvoir enfiler un leggin sans avoir l’air d’une knacky, malheureusement pour arriver à ces fins je dois sacrifier quelque chose, en l’occurence mes poumons………D’où la pensée du jour :

De l’intégration à la désintégration, il n’y a qu’un pas.

Les scientifiques ne s’épenchent pas trop sur le sujet, dommage on aimerait bien quelques parutions, aux titres évocateurs et à « l’efficacité prouvée ! »,  sur un sujet qui somme toute, intéresse beaucoup de gens.